J’ai du retard, beaucoup de retard… Je me suis encore laisser envahir pas les autres. Et cette perte de temps m’énerve. J’ai besoin de temps pour moi, pour vous écrire. J’aime et j’en ai besoin. J’ai besoin de calme aussi. Le bruit m’est de plus en plus difficile à gérer. J’ai du mal à me concentrer dans un environnement pollué. J’ai besoin d’être isolé, d’être au calme. Je sais pas si c’est lié à mon manque de sommeil qui me rend irritable.
Je me sens bien avec vous, quand je construis un projet, que ce soit sexuel, familial ou professionnel, j’oublie tout le reste et je me sens forte, prête à construire l’inconcevable. J’ai toujours cru en nous, et en notre force associée. Mes longs mois de vacances me font du bien, mais il me tarde d’être dans l’action. J’aime travailler, je m’y sens productive et je sais que j’avance à tous les niveaux. Nous avons passé un mois ici qui nous fallait. Nous recentrer sur nous même, nous explorer à nouveau, parler de nos projets et construire un avenir prometteur. J’ai très envie de partir avec vous en Ecosse, en Louisiane aussi. Mes idées sont plus claires et mes envies plus franches pour l’Ecosse. La Louisiane me semble trop loin encore. Je ne dis pas que c’est irréalisable au contraire. Je m’impliquerai autant dans ce projet que dans les autres. Il ne me fait pas peur, vous avancez plus vite que moi sur celui là. Vos idées sont claires et surtout vous vous y êtes renseigné. Ma tête fulmine ces derniers temps, j’ai eu beaucoup de chose à ingérer, bons ou mauvais, et je n’ai pas encore pris le temps de faire des recherches sur la Louisiane. Ne m’en voulez pas, laissez moi le temps de le découvrir. Je veux faire ce cahier numérique pour y voir plus clair, pour déterminer en plus de vos objectifs, les miens. Je sais qu’à Saumane j’aurai du temps pour ça, de l’espace aussi.
Mélyna m’a parlé de Jimmy. Il est très bon commercial mais n’aime pas demandé. Il vous l’a dit pour son déménagement par exemple. Mais Mélyna m’a dit qu’elle pourrait elle, appeler les gens en premier et si les gens sont ok c’est Jimmy qui irait au rendez vous. L’entrée en contact n’est pas son point fort, Mélyna n’était pas réticente à l’idée de l’aider. Elle m’a aussi dit qu’elle lui dirait d’en parler à un gars de Bessèges qui a ouvert un truc de piscine. Elle le motivera j’en suis sûre. Elle à l’air d’être vaillante elle aussi. Je lui en reparlerai d’ici quelque temps. Guidez le peut être au départ, mettez le en confiance. Le fait qu’il ne sache pas de quoi parler à l’air de l’incommoder. Cela peut être un frein pour lui. Alors, montrez-y le métier, il a l’air de comprendre vite. Ces projets sont intéressants, ils peuvent être un point d’appui pour Power Com ou même être mis sous le chapeau de Power Com. Il est ferme sur ses idées mais il faut lui montrer le lien qui peut y avoir entre tout. Votre travail me passionne, vous voir impliqué m’excite. J’aime quand vous parler de vos projets professionnels, vous en parlez avec une telle ferveur, une telle ambition, une telle confiance et aisance. Malgré votre stress, malgré votre manque de confiance parfois, vous êtes capable, et vos clients ont toujours été satisfaits. Il faut que vous appreniez à accepter que des clients puissent être mécontents. Je peux vous aider sur ça, j’ai géré des clients râleurs, je veux vous aider.
Je suis encore trop pudique pour parler publiquement de sexe. Je n’arrive pas à me détacher du moi, à jouer un personnage. C’est pour ça que je me sens bien avec vous. Car je me sens moi, sans pudeur, je peux tout faire devant vous. Même si je peux y mettre un point de réserve au début, je sais que tôt ou tard je m’y lancerai. L’idée du compte me plait, je ne veux juste pas que ça me prenne trop de temps. J’ai aimé vous écrire cette lettre avec un de mes fantasmes. Ça prend du temps mais j’ai beaucoup aimé pour l’écrire, je vous imaginer le lire. J’ai aimé faire les photos car je sentais votre excitation et ça, ça me plait. J’aime voir le désir monter en vous. Hier, poser pour vous, que vous me guidiez dans les positions, m’a donné beaucoup de plaisir. Je ne veux pas arrêter le compte Twitter, mais comme pour toutes choses j’y vais doucement, je suis comme ça.