Lettre 0.2

Je ne te reproches rien. On plus et j’ai passé moi aussi deux mois fantastiques. Mais tous mes étés ont été fantastiques avec toi. Je n’oublie riens. Madrid, Valensole, Aix en Provence, Trans Montana et bien sûr Palavas avec les enfants. Et pourtant il est quand même arrivé ça. Je sais que l’histoire ne se répétera pas mais j’ai quand même peur. Car depuis 2019 je me rends compte que je ne suis à l’abris de rien. Je ne te retiens pas ni te maintiens assez pour que tu sois tranquille et heureux avec moi. Je me rends compte qu’à chaque fois que tu as essayé ou fait qqchose tu t’es tourné ou rassuré auprès de quelque d’autres. J’aurai préféré que ça soit moi. Et chaque fois que tu me dis que tu vas mal, que tu as le cafard j’ai peur que tu te tournes vers quelque d’autres. Je connais mes qualités et mes défauts. Je sais que je ne suis pas facile à vivre parfois mais je te tendrai toujours une main parce que je sais que je t’aime d’un amour indescriptible. J’ai toujours été méfiante à l’égard d’Aurelie et je ne me suis pas trompé. Et encore aujourd’hui je pense que c’est quelqu’un qui fait les choses dans son intérêt. Je l’ai dit avant même que je sache ce que tu as fait. Je sens c’est chose. J’ai une belle âme, tout comme toi, je sais quand les gens sont malveillants.
je n’ai pas de solution à mon problème,

je suis sensible en ce moment. J’ai constamment besoin d’être rassuré. Je sais que c’est depuis toujours mais je sais que j’ai aussi fait des progrès sur ça. Mais là je suis encore sensible à certaines choses. Je m’en veux de te ne pas accepter ton humour et je me déteste un peu plus chaque chose face à mon incapacité a le prendre avec humour mais j’y arrive pas. Ça me fait peur.

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