C’est difficile en ce moment au niveau physique. Je dors mal. Je suis globalement fatigué. Je suis content de ma vie. Malgré tout ce qu’il se passe et en fait il se passe rien, je suis content. Les gens pourront parler, venir te dire des trucs comme Laurence ça ne changera pas ce que je suis et qui je suis. Je suis un bon père et un bon mari. Je suis gentil et je pense que je suis agréable. Je n’ai jamais voulu me séparer de toi. Parfois je suis distant parce que je suis fatigué. Pas parce que je veux être loin de toi. J’ai souvent besoin de ton contact dans le lit.
Tu es un bon père et un bon mari aussi. Oui, tu es gentil et agréable. J’ai mes doutes et mes peurs qui me nuisent et nuisent à notre relation parfois. Quand tu es distant ça m’inquiète. Ca m’inquiète car je m’imagine que c’est parce que je ne suis pas à la hauteur de tes exigences et donc que tu te tournes vers autre chose. J’ai besoin de ton contact aussi. J’aime quand tu me câlines. J’aime te câliner. Ta distance parfois me freine dans mes initiatives de venir vers toi alors que c’est ce que tu aurais besoin. Je suis maladroite, je ne sais pas toujours/encore m’y prendre avec toi dans ces moments là.
A la soirée j’ai pas aimé que tu me demande d’aller a la boxe avec elle. De suite ça m’a mis mal a l’aise parce qu’elle est immonde. Elle est rempli de venin et elle aime polémiquer, créer le chaos, parce qu’elle n’a rien dans sa vie. Elle ne te parlera jamais comme une amie parce quelle ne peut être ami avec personne, elle ne peut même pas être soeur de quelqu’un. Oui ça m’inquiète de te voir lui parler. Beaucoup. Parce que je ne veux pas que tu tombe la dedans et que ça te fasse du mal et ça nous fasse du mal.
Je n’ai pas l’intention de côtoyer cette personne. Ni même les autres d’ailleurs. Même Flora j’en ai pas spécialement envie. L’amitié m’a déçue et encore aujourd’hui. Je me déplais pas seule, même si parfois j’ai besoin de parler à quelqu’un.
J’aime ma vie, j’aime être avec toi et j’aime construire quelque chose de grand avec toi au delà de l’amour.
On ne se séparera pas. Je le sais. Parce que si ça avait du arriver ça serait arriver. On s’aime, c’est évident. Ya rien de plus à dire. J’aime rien de plus que me mettre avec toi et regarder la tv avec un plateau de tapas. Ma vie c’est ça. Et je l’aime. Les gens aiment savoir, même Jimmy me l’a demandé quand je lui ai demandé qui était invité. Mais je ne veux pas leur parler a tous. Et je ne veux pas les écouter. Ma famille c’est nous 4 et nos familles respectives. Le reste ne m’intéresse pas. Pourquoi ça t’intéresse ?
Ca ne m’intéresse pas non plus, moi j’en ai parlé à personne et j’en parlerai à personne. Mélyna ne m’en parle plus, je pense qu’elle a compris. Samedi soir j’ai commis une erreur, je l’ai laissé entrer. Je le reconnais. Mais je suis encore fragile sur ça.
Quand tu a fait cette crise de panique après le repas, on a parler tu t’es endormi. Comment tu as fais pour switcher comme ça ? Je n’y arrive pas moi.
Je ne switch pas. J’ai la réponse à ma question, je suis rassurée donc je peux m’endormir. Le fait de te parler, d’avoir un contact physique, de se dire les choses de visu m’apporte beaucoup dans mon rapport de confiance avec toi. Tes paroles étaient remplies de sincérité et d’émotions. Je les ai senti et c’est ça qui me rassure. Quand tu me dis que là maintenant tu voudrais que je te prenne dans les bras, moi aussi ça me fait du bien car je sais ce que tu veux, je sais que ce que je te donne te fais du bien. J’ai besoin de connaître des émotions et te ressentis même si parfois on n’a pas envie de parler. Samedi dans la nuit tu m’as rassuré, ta sincérité m’a fait du bien. Mes doutes sont parties et l’histoire de l’autre (A) s’est évaporé. J’ai des moments où je replonge dans cette histoire et t’entendre dire que tu m’aimes, que tu veux faire le reste de ta vie avec moi me fais du bien et me tire vers le haut. Tu es une des seules raisons, avec mes enfants, de pourquoi je me lève le matin, de pourquoi j’avance et de pourquoi j’ai envie de me donner à 100% dans tout ce que je fais.
J’aime mes enfants plus que tout. Je t’aime aussi à un point que tu n’imagines pas. Mais au final je ne veux pas qu’il faille se disputer pour qu’on se rapproche. On est bien ensemble. Arrête de penser aux autres. Accompagne moi. Laisse moi être le chef. Tu commande beaucoup de choses mais laisse moi commander ici.
J’aime mes enfants, j’aime ma vie, je t’aime toi plus que tout. On est bien. j’ai besoin que tu me guides car je me sens perdue en ce moment. Mes repères se sont un peu écroulés.
J’aime rentrer le soir, préparer à manger, faire faire les devoirs à Victoria alors que tu es au foot. J’aime t’attendre. C’est con mais j’aime. J’ai tellement été absente l’année dernière que j’aime ces moments là.
Je te l’ai dit, ma faiblesse et ma force c’est toi. Pour toi je pourrais soulever des montagnes, entreprendre des choses inimaginables mais qu’on te touche m’est insupportable. C’est en ça que je dis que tu es ma faiblesse car l’idée que tu as “appartenu” à une autre qu’elle connait des choses intimes de toi m’est difficile. J’aime à l’idée de savoir que je partage des choses uniques avec toi, que seules toi et moi on connait et que seule notre union peut nous faire vivre. Tu connaitras des émotions avec d’autres personnes mais celles que tu vis avec moi doivent être uniques.
On a des projets, mon travail ça avance, j’ai des clients etc.. Pensons à la vie qu’on peut s’offrir et qu’on peut offrir à nos enfants.
J’aime travailler avec toi, j’aime faire du travail pour toi. Je veux penser aussi à nous et nos enfants. Il nous suffit de pas grand chose pour être bien. Je sais que tu as toi aussi des moments ou tu es fatigué et donc “moins” présent, mais je veux que tu me parles. Que tu me dises qu’entre nous ça va car je m’imagine le pire dans ces moments la. Je t’accompagnerai quoiqu’il en soit, je serai à tes cotés coûte que coûte car je t’aime. Et je sais que c’est comme on est maintenant que je veux être tout le temps.